Face à la montée des préoccupations liées à l’isolation thermique, à la transition énergétique et aux exigences de confort, nombreux sont ceux qui s’interrogent : peut-on encore louer un appartement équipé de simple vitrage ? Entre réglementation sur le logement décent, normes d’isolation ou obligations récentes imposées au bailleur, il n’est pas toujours évident de s’y retrouver.
Quelles sont les règles pour la location d’un appartement avec simple vitrage ?
La question se pose souvent lors de la mise en location d’un bien ancien : le double vitrage est-il obligatoire pour pouvoir proposer une location sur le marché ? La réglementation française ne l’impose pas directement dans tous les cas, mais plusieurs cadres législatifs influencent la réponse selon la situation du logement. Il convient donc de bien distinguer les critères relatifs à la performance énergétique et à la notion de logement décent.
Dans certains groupes d’immeubles, on constate que la majorité des appartements conservent leurs menuiseries anciennes et leur simple vitrage. Malgré cela, rien n’empêche formellement la mise en location de ces biens. Il existe cependant des critères stricts concernant le caractère décent du logement ainsi que sa performance énergétique. Le propriétaire doit donc rester vigilant quant à l’état général des fenêtres et à la conformité globale de son bien par rapport aux nouvelles attentes réglementaires.
Décryptage du logement décent et ses implications
Prenons un instant pour rappeler les critères définissant un logement décent. Depuis plusieurs années, un appartement mis en location doit garantir une sécurité minimale, un confort suffisant et répondre à certaines normes d’isolation permettant à l’occupant de se chauffer correctement sans dépenses excessives. Le décret relatif à la décence des logements précise qu’ils doivent permettre, entre autres, « une protection contre les infiltrations d’air parasites ». Une fenêtre à simple vitrage mal entretenue peut se retrouver pointée du doigt si de vrais problèmes d’étanchéité existent, ce qui met en cause la conformité du logement.
Si le simple vitrage est en bon état et assure une certaine étanchéité, il reste juridiquement possible de louer ce logement. Dès qu’apparaît une défaillance (infiltrations, condensation, sensation de courant d’air), le locataire dispose de nouveaux recours pour exiger la mise en conformité. Les propriétaires doivent ainsi rester attentifs à la qualité générale des menuiseries anciennes avant toute signature de bail, car ils engagent leur responsabilité sur la salubrité et le confort du bien.
Le DPE, passoire thermique et seuils à surveiller

L’entrée en vigueur progressive de la loi énergie et climat a placé la notion de performance énergétique au cœur de la législation relative à la location. Désormais, tout bien mis sur le marché doit subir un diagnostic de performance énergétique (DPE). Si celui-ci aboutit à la classification F ou G, on considère alors l’appartement comme une passoire thermique – statut qui implique de nombreuses conséquences pour le bailleur.
À partir de janvier 2025, les logements classés G seront interdits à la location, tandis que ceux classés F le deviendront dès 2028. Or, la présence exclusive de simple vitrage contribue presque systématiquement à une mauvaise note au DPE, notamment en raison de pertes importantes de chaleur et d’une isolation faible. Même si la réglementation n’exige pas explicitement le double vitrage obligatoire en location, la réalité technique fait rarement illusion devant un diagnostiqueur énergétique, ce qui limite les marges de manœuvre pour le propriétaire.
Quels sont les travaux à effectuer selon la loi énergie et climat ?
La loi énergie et climat impose des règlementations pour améliorer l’efficacité énergétique des logements mis en location. Ces travaux sont donc indispensables pour un bien équipé d’un simple vitrage.
Premièrement, l’isolation par le toit doit être renforcée. Il en est de même pour l’isolation du sol et du mur. Ensuite, le logement doit être équipé d’un système de ventilation performant. Ce dernier est essentiel pour éviter le phénomène d’humidité.
Si le logement est équipé d’un système de chauffage ancien, il est sûrement une passoire énergétique. Par conséquent, il est indispensable de le remplacer par un système de chauffage plus récent, mais surtout, plus performant énergétiquement parlant.
Enfin, l’isolation des ouvertures doit être renforcée. C’est ici que le double vitrage entre en jeux en remplaçant le simple vitrage.
Comment les propriétaires peuvent-ils anticiper l’évolution de la réglementation ?
Les bailleurs ont donc intérêt à suivre de près les dispositions actuelles et à venir. En ajustant proactivement leurs équipements, ils évitent les sanctions potentielles et valorisent durablement leur patrimoine immobilier. L’objectif est clair : ne pas se retrouver bloqué par une interdiction de location liée à une étiquette énergétique trop basse.
Se contenter de garder le simple vitrage n’est plus une stratégie pérenne. Certes, tant que l’immeuble ou l’appartement échappe à l’étiquette de passoire thermique, aucune sanction immédiate ne menace. Mais l’accélération de la rénovation énergétique portée par la loi énergie et climat laisse peu de marges de manœuvre pour ceux qui demeurent inactifs. Anticiper permet d’éviter les mauvaises surprises et de planifier sereinement les investissements nécessaires.
Les obligations du propriétaire face à l’isolation
En France, la responsabilité principale pour garantir la salubrité et la bonne isolation d’un logement incombe au propriétaire. Lorsqu’un locataire signale une difficulté à se chauffer ou se plaint d’une consommation disproportionnée liée à la vétusté des fenêtres, le bailleur engage alors sa responsabilité. On conseille donc régulièrement la pose de menuiseries étanches, performantes et répondant aux dernières normes d’isolation du marché.
Remplacer toutes les fenêtres représente parfois un investissement conséquent, surtout dans des immeubles anciens. Fort heureusement, plusieurs dispositifs d’aides financières et subventions permettent d’accompagner ces travaux : MaPrimeRénov’, éco-prêt à taux zéro, crédits d’impôt ou accompagnement local spécifique selon la commune. Cela favorise la transition vers des fenêtres double vitrage et améliore sensiblement la performance énergétique du bien.
Travaux et rénovations énergétiques à privilégier

Bien analyser où se situent les principales pertes thermiques constitue le socle de toute action ciblée. Dans la plupart des configurations urbaines, remplacer le simple vitrage par du double vitrage nouvelle génération figure parmi les chantiers prioritaires. Non seulement cela améliore immédiatement la performance globale du logement, mais cela rassure également le futur locataire quant à son confort et la maîtrise de ses factures d’énergie.
D’autres pistes complètent utilement le changement des fenêtres : installation de volets isolants, remplacement des portes donnant sur l’extérieur, voire intervention globale sur l’enveloppe du bâtiment. Chacune de ces mesures vise à sortir le logement du périmètre d’interdiction à la location prochaine, tout en préservant ou améliorant sa valeur sur le marché. Prendre les devants devient donc un réel atout patrimonial.
L’importance des matériaux de construction sur l’isolation des fenêtres
Le matériau avec lequel la fenêtre est fabriquée exerce un rôle primordial dans l’isolation thermique. Si vous voulez augmenter la performance énergétique de votre appartement avant de le louer, changez le cadre de vos fenêtres.
Vous avez le choix entre une fenêtre en bois, en aluminium et en PVC. Le choix ne va pas seulement dépendre du niveau d’isolation voulue, mais vous pouvez également prendre en compte le style de l’appartement.
Pour avoir une fenêtre double vitrage en bois, il faut compter un budget entre 500 et 1 350 euros par mètre carré. Non seulement ce type de fenêtre est performant en isolation thermique, mais il est également apprécié pour son aspect esthétique authentique.
Les fenêtres double vitrage en aluminium peuvent ensuite vous convenir si votre appartement est de style moderne. Son prix varie entre 300 et 1 700 euros. En ce qui concerne l’isolation thermique, l’aluminium offre une performance moyenne.

Si vous avez un budget limité, il est conseillé de s’orienter vers les fenêtres en PVC. Ces dernières sont réellement abordables. Cependant, ce matériau offre une piètre performance en isolation thermique. Ce type d’ouverture sera accessible entre 250 et 400 euros.
Sachez qu’il est possible de combiner deux matériaux à la fois sur une seule ouverture. Vous pouvez par exemple associer le bois avec l’aluminium. Cette association vous offre, d’un côté, la performance du bois en termes d’isolation. De l’autre côté, votre fenêtre deviendra un élément de décoration indéniable dans un appartement moderne grâce à l’aluminium. Son prix va se situer entre 500 et 950 euros.
Quels impacts pour le locataire et le propriétaire en cas de location avec simple vitrage ?
La relation entre locataire et bailleur autour de la thématique du simple vitrage repose beaucoup sur la transparence des échanges. Sur le plan légal, le futur occupant gagne à vérifier attentivement le classement énergétique du bien proposé afin d’éviter une mauvaise surprise au moment de l’installation. Un logement mal isolé entraîne généralement des charges de chauffage élevées et un inconfort ressenti au quotidien.
Un propriétaire informé et soucieux évitera quant à lui que son logement bascule vers la catégorie passoire thermique. Pour cela, il doit anticiper la moindre évolution de la réglementation, adapter son discours envers les potentiels locataires et démontrer sa volonté de maintenir ou relever la performance énergétique de l’appartement loué. Cette anticipation renforce la confiance et sécurise la location.
Dialoguer autour du confort et des charges
L’un des enjeux majeurs lors des visites concerne la gestion des charges de chauffage. Sans double vitrage, le montant de la facture grimpe, surtout dans les zones exposées ou en étage élevé. Certains candidats à la location risquent même de refuser purement et simplement un logement dont l’isolation leur semble insuffisante, indépendamment du classement DPE affiché. Ce critère prend donc une importance croissante lors des négociations.
Introduire rapidement le sujet pendant la visite crée un climat sain. Indiquer précisément si des travaux de rénovation énergétique sont prévus, présenter ouvertement les démarches déjà entreprises, participe à valoriser le bien auprès de profils sensibles à ces questions. La transparence sur les projets d’amélioration est désormais un argument clé pour attirer des locataires exigeants.
Insister sur les avantages d’un appartement avec du simple vitrage
Etant donné qu’il n’est pas interdit de louer un appartement avec du simple vitrage, il est essentiel de convaincre le futur locataire sur ses points forts. Tout d’abord, un appartement avec du simple vitrage affiche un prix plus attractif par rapport à un logement avec du double vitrage.
Il faut ensuite insister sur le fait que le vitrage peut être épais même s’il est simple. Le problème acoustique ne sera donc pas un frein pour la location. Encore mieux, le simple vitrage peut réellement isoler l’appartement du bruit venant de l’extérieur s’il s’agit d’un verre trempé.
En outre, un appartement avec du simple vitrage est avantageux en lumière naturelle. Il n’est donc pas nécessaire de pousser le chauffage à bout pour avoir du confort thermique. La chaleur du soleil peut très bien compléter la chaleur manquante.
Le simple vitrage permet ensuite l’intégration de nombreux styles. Vous pouvez en effet installer des vitraux décoratifs colorés pour compléter votre décoration d’intérieur. Il est même possible de façonner un style original si vous vous penchez vers une décoration authentique.
Astuces pour limiter les désagréments si le simple vitrage demeure
Parfois, il n’est pas possible de changer immédiatement toutes les fenêtres, pour des raisons budgétaires ou administratives (site classé, contraintes architecturales spécifiques, copropriété opposée aux modifications). Dans ce cas, l’installation de rideaux thermiques épais, au prix de 20 à 30 euros, peut constituer une solution temporaire à partager avec le locataire. Ces accessoires limitent les sensations de froid et contribuent à améliorer le confort ressenti, même sans rénovation complète. Les volets roulants peuvent également exercer le même rôle. Leur prix se situe entre 80 et 600 euros en fonction du système. Evidemment, un volet roulant manuel affichera un prix plus attractif à côté d’un modèle électrique.
A côté de cela, il est possible de renforcer l’isolation du simple vitrage en installant du survitrage sous forme d’un film isolant, coutant entre 15 et 30 euros, ou d’un second vitrage en verre au prix de 65 euros le mètre carré. La première solution est plus abordable par rapport à la seconde. De plus celle-ci est plus facile à poser. Pour la seconde option, l’épaisseur doit être entre 4 et 8 mm pour que l’isolation soit renforcée.
Pensez aussi à vérifier que les joints de fenêtre restent en bon état et que les interstices soient condamnés. En effet, ces derniers peuvent être usés suite à l’exposition aux intempéries. Les manœuvres répétées peuvent également les détériorer sur le long terme qu’ils ne remplissent plus leur rôle comme il se doit.Pour que l’étanchéité à l’air ou à l’eau soit assurée, le choix varie entre un modèle en mousse, en silicone ou en caoutchouc.
Certaines astuces relativement simples contribuent à améliorer ponctuellement la sensation de confort sans pour autant offrir les mêmes garanties qu’une rénovation complète ou la pose d’un double vitrage performant. Chaque geste compte pour limiter les déperditions de chaleur.
A noter que le simple vitrage est responsable d’une déperdition de chaleur dans l’ordre de 10 à 15%. Pourtant, la chaleur qui s’échappe par le toit ou les combles mal isolés est de 30%. En gardant le simple vitrage, il est possible d’éviter le statut de passoire thermique en isolant correctement la toiture et les combles.
Peut-on obtenir des aides pour passer du simple au double vitrage ?

De nombreux programmes incitent aujourd’hui particuliers comme bailleurs à engager des travaux de rénovation énergétique. Remplacer du simple vitrage par des menuiseries étanches hautes performances entre sans difficulté dans le cadre de ces dispositifs, poussant à moderniser rapidement l’habitat français peu isolé. Les offres sont variées et adaptées à différents profils de propriétaires.
Pour un propriétaire souhaitant éviter l’interdiction future de location, il existe un panel très large d’aides financières: de la fameuse prime rénov jusqu’au coup de pouce isolation, sans oublier les offres régionales ou communales parfois cumulables sous conditions. Ces solutions permettent de réduire significativement la facture globale — aspect non négligeable, spécialement sur de grands logements ou pour plusieurs lots à mettre aux normes.
Zoom sur les aides pour remplacer du simple vitrage
Remplacer du simple vitrage par un modèle double vitrage fait partie des moyens pour améliorer la performance énergétique de l’appartement. C’est pourquoi, il est possible de bénéficier des différents types d’aide cités plus haut. Mais à combien s’élève réellement ces subventions.
Le dispositif MaPrimeRénov’ est une nouvelle forme du crédit d’impôt CITE et du dispositif «Habiter Mieux Agilité» proposé par l’Agence Nationale de l’Habitat ou l’Anah. La subvention s’élève entre 40 et 100 euros par fenêtre.
Il y a ensuite l’Eco prêt à taux zéro qui vous donne la possibilité de réaliser un emprunt sans se soucier de l’intérêt. Ce dispositif n’est valable que pour les logements qui ont été construits depuis plus de 15 ans. Au maximum, il est possible de recevoir 7 000 euros d’aide. Si la rénovation énergétique consiste à réaliser d’autres travaux qui augmentent la performance énergétique du logement, le montant de l’aide peut grimper jusqu’à 30 000 euros.
Après, les certificats d’économie d’Energie ou CEE sont octroyés par les fournisseurs d’énergie. Cependant, le système est encadré par l’Etat.
Quels critères pour bénéficier d’une aide financière ?
Accéder à ce type d’appui suppose en général que les travaux soient réalisés par des artisans RGE (reconnus garants de l’environnement) et conformes aux exigences techniques posées par chaque programme. Conserver les factures, faire établir des devis détaillés avant le démarrage, pourra ensuite servir de dossier en cas de contrôle ou de réclamation postérieure. La rigueur administrative facilite l’obtention des subventions.
Ajoutez à cela, certains organismes réclament un niveau minimal de performance atteint après les travaux (valeur d’isolation thermique finale, transmission lumineuse conforme…) pour valider le versement de la subvention. Informez-vous réellement avant engagement car les montants accordés varient largement en fonction des revenus du bailleur ou du niveau du DPE initial. Il est conseillé de prendre conseil auprès d’un guichet unique ou d’un conseiller spécialisé.
Optimiser sa demande et accélérer la rénovation
Obtenir une aide peut paraître complexe au premier abord. Prenez le temps de rassembler soigneusement toutes les pièces justificatives : avis d’imposition, plans, photos, preuves de classement énergétique… De nombreux guichets uniques locaux offrent désormais un accompagnement personnalisé, aidant à monter les dossiers pour maximiser les chances de validation. Cette démarche simplifie grandement l’accès aux subventions.
Anticipez les délais liés aux instructions administratives. L’affluence des demandes, notamment sur les changements de menuiseries, génère parfois de vrais ralentissements saisonniers. Saisir ce contexte permet aussi d’agir suffisamment tôt avant l’interdiction de location effective pour les logements concernés. Plus la demande est préparée en amont, plus elle a de chances d’aboutir rapidement.
Vers quelles tendances évolue le secteur de la location immobilière face à l’isolation ?
Avec le renforcement constant des exigences énergétiques et la généralisation des audits lors des transactions, le marché locatif connaît une mutation rapide. Bailleurs traditionnels comme nouveaux investisseurs reconsidèrent la composition technique de leur parc immobilier et acceptent progressivement la montée des coûts associés à l’amélioration des performances énergétiques. Le double vitrage tend à devenir la norme dans les prochaines années.
Difficile, désormais, de vendre ou louer sans prendre en compte l’image environnementale du bien, sa capacité à garantir un confort moderne, ou la volonté de respecter les futures conclusions de la loi énergie et climat. Conserver du simple vitrage devient de moins en moins soutenable dans cette logique de plus-value et d’attractivité résidentielle. Les attentes changent et les exigences augmentent.
L’impact grandissant des interdictions et des nouvelles normes
Le rythme d’application des restrictions aux passoires thermiques s’accélère chaque trimestre, pressant les bailleurs à revoir les priorités de leurs investissements. Dès lors, un appartement doté exclusivement de simple vitrage risque d’être relégué à la marge du marché, générant moins de rentabilité, davantage de vacance locative et une réputation entachée auprès d’un public sensibilisé à la transition écologique.
Certains adaptent donc leur stratégie patrimoniale, préférant effectuer les grands travaux dès aujourd’hui afin d’avoir l’esprit tranquille sur la décennie à venir. Si la question ancienne du double vitrage obligatoire en location paraissait abstraite il y a cinq ans, elle tend maintenant à devenir une étape quasi-incontournable pour tout propriétaire désireux de rester compétitif. Investir dans l’isolation, c’est miser sur l’avenir et la stabilité locative.
Nouvelles attentes des futurs locataires : vers un habitat mieux isolé
Longtemps concentrés sur les loyers ou la superficie habitable, les candidats à la location fixent désormais leur attention sur d’autres critères : isolation phonique, efficacité du chauffage, absence de courants d’air… Un simple vitrage trop voyant peut dissuader, même sur un logement bien situé ou au charme certain. L’absence de travaux d’isolation devient un frein majeur à la location.
Une communication transparente, axée sur les engagements à court terme pour l’amélioration du bien et illustrée via des documents officiels (devis de menuiseries étanches, statistiques de gains énergétiques…) rassure et fidélise le futur locataire tout en valorisant la démarche proactive du bailleur. Montrer que l’on s’engage dans la rénovation énergétique est devenu un gage de sérieux et de modernité sur le marché actuel.
